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Interview :
Cali

 

Tu aimes utiliser le mot fesses dans tes chansons, les seins ne t'excitent pas autant ?
C'est la première fois qu'on me pose cette question (rire), mais si j'aime les deux !

Les fesses sont la dernière chose que l'on voit quand les femmes se barrent ?
Oui et quand on est très fourbe c'est ce qu'on regarde en premier quand on se retourne sur une fille.

La rupture d'ailleurs est le leitmotiv de l'album ?
Je dirais plutôt " l'après rupture ".

Le titre Amour parfait, est-ce un paradoxe, une utopie, ou le chat sur la pochette qui le symbolise ?
C'est un peu des trois. J'aime bien les mots : " amour " et " parfait ", qui sont deux mots qui ne vont pas forcement bien ensemble. J'aime bien cette opposition. Sur scène je joue avec un guitariste punk d'un coté et une artiste plus classique de l'autre. L'amour parfait c'est surtout des crises de nerfs, des gros cris et puis la réconciliation qui va avec le pardon.

Qu'as tu fait à ce minou pour qu'il te griffe de cette façon ?
Je n'étais pas très fan de la pochette au début, je la trouvais trop humoristique et quelqu'un m'a dit de ne pas la mettre car elle était trop dure, trop gore avec ces balafres sur mon visage. Réaction suffisante pour que je me décide à accepter.

Le fait d'avoir enfin une grosse maison de disque t'a-t-il permis d'avoir sur disque ce que tu voulais vraiment entendre ?

Absolument. Je me rends compte aujourd'hui que ma musique pêchait pour une raison ou pour une autre. L'idée pour L'amour Parfait, c'était d'enregistrer dans les meilleurs conditions qui soient. Notre producteur Daniel Presley qui a aussi travaillé avec Venus, Dionysos, a ce coté perfectionniste, il en est terrifiant, notamment dans la justesse des cordes.

Tu es un des rares chanteurs à pouvoir concilier des chansons dures et un quatuor à cordes ou un grand orchestre. Où as-tu appris ça ?

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