Chris Whitley n'est pas né de la dernière pluie,
son nouvel album est le douzième d'une carrière
débutée en 1991 avec Living with the law. Celui
dont le timbre de voix a des accents à la Chris Réa
nous offre ici un album teinté d'amour et de mort (dixit
son auteur), dont le titre est extrait d'un poème d'André
Breton.
A la fois compositeur, interprète et guitariste, Chris
trouve son inspiration dans son vécu ; il a quitté
son pays (les Etats-Unis) pour vivre une partie de son temps à
Dresde (Allemagne) et c'est là qu'il a créé
ses nouvelles chansons et cette ambiance planante que l'on retrouve
sur certains titres. D'ailleurs, Valley of innocents est un portrait
de la vie à Dresde, de ses habitants
Il a enregistré ses compositions avec Heiko Schramm (bassiste)
et Matthias Macht (percussions), deux musiciens allemands. A la
production on retrouve Malcolm Burn, son ancien complice, déjà
présent pour le premier album, le tout donne un mélange
de jazz et de blues avec une pointe d'électronique.
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plus sur Chris Whitley.
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