|
Roger Hodgson
(ex-Supertramp) en concert.
En ce 22 mai, je suis au Bataclan
à Paris pour assister au concert de Roger Hodgson. C’est
le premier concert officiel de cette mini-tournée européenne
qui en compte 6. ‘Officiel’, car Roger se produisait
quelques jours avant à Quimper pour un concert gratuit,
un rodage.
 |
1 ere surprise
: Roger se produit en One Man Show, avec, à sa
disposition une guitare et un clavier, rien de plus. Dans
cette configuration, on est loin de l’ambiance sophistiquée
qui règne sur son dernier album Open the Door.
Pas de jeux de lumières superflus non plus, l’artillerie
légère, en fait. Pourtant, on le sent très
à l’aise dans ce type d’ environnement dépouillé
et minimaliste.
|
Force
est de constater que Roger n’a rien perdu de sa voix si particulière
qui nous charme depuis plus de 30 ans.
Il semble en super forme, bien que très ému de se
retrouver face à son public français qui l’adore
(et qu'il adore). N’oublions pas que c’est son premier
concert depuis 98, si on exclut ses apparitions dans Excalibur,
grande fresque musicale créée par son ami et producteur
Alan Simon.
 |
2 eme surprise
: Roger semble avoir progressé en français
!. Il nous le prouve par ses commentaires toujours drôles,
dont il nous gratifie tout au long
de ce set qui va durer près de 2 heures... et réjouir
1 millier de fans connaisseurs.
Le show débute avec un classique : the Meaning, Roger
enchaine avec une de ses nouvelles chansons : Along came Mary,
qu’il jouait déjà en 98. Il s’installe
ensuite au piano pour interpreter In Jeopardy qui est un classique
de sa carrière solo. |
Suivront
Open the Door sur lequel le violonniste Didier Lockwood viendra
l’accompagner. Ce sera le seul moment difficile, en fait,
les 2 artistes ayant un peu de mal à se trouver.
Lockwood remercié, Roger se lance alors dans deux classiques
de Supertramp : Breakfast in America et Hide in your Shell, ovation
de la part du public. Retour à la guitare pour Love is
a 1000 Times, autre nouvelle chanson.
Suite.
|
