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Rencontre
avec Bertrand, bassiste des Stereotypical Working Class.
D'où
vient le nom de votre groupe ?
On a choisi ce nom car on voulait un nom un peu "long"
qu'on ne retient pas tout suite mais qui une fois qu'on l'a entendu
reste bien dans la tête; mais surtout notre nom sonne trés
"ricain" mais signifie quelque chose un peu loin du rêve
américain car il signifie "Stereotype de la classe travailleuse",
le beauf en gros. On se sent un peu comme les Homer Simpson du métal.
Comment
s'est passée votre ascension, de la scène métal
lyonnaise à la scène métal française
en général ? Pensez-vous être le groupe porte-parole
de cette scène régionale ?
On a eu la chance de rencontrer les bonnes personnes au bon moment
(management, ingénieur son, tourneur ...) et ces personnes
nous ont aidé à évoluer et nous ont ouvert
des portes. On a commencé à jouer en dehors de chez
nous et maintenant notre premier maxi est distribué nationalement
donc l'évolution s'est faite au fur et à mesure grâce
aux différentes rencontres qu'on a pu faire.Pour ce qui est
de notre région il y a chez nous plein de bons groupes dans
différents styles (Hightone, Prohom, Counterfeit..) et je
ne pense pas qu'on puisse plus se placer en porte-parole qu'un autre
donc on fait partie de cette scène sans en être pour
autant porte-parole.
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Quelles
sont, et quelles ont été vos influences (si
elles ont changé) ?
Il y a les Guns and Roses pour le rock' n'roll style, les
Redhot pour la funkadelic et des groupes comme Incubus, Deftones,
Zebrahead, Finger Eleven, Glassjaw et aussi Watcha dont on
est des fans.
Peut-on
réellement vous affilier au mouvement métal
ou vous sentez-vous éloignés de ce mouvement
?
La scène rock actuelle porte le sceau métal
ou néo-métal en géneral et elle regroupe
pourtant plein de groupes bien différents come Lofofora,
Watcha, Lunatic Age, Aqme...
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Nous on se sent
surtout comme un groupe de rock influencé par pas mal de
choses mais dans l'idée pour nous on fait plus du rock qu'autre
chose, après l'étiquette métal ne nous gêne
pas, l'étiquette c'est pas vraiment important
Comment
s'est passée la signature avec Next Music ?
Ils nous ont dit qu'ils allaient faire de nous les nouveaux "Garous"
et qu'on ferait peut être un duo avec Lorie c'était
bien plus d'argument qu'il n'en fallait !!!!!
En réalité nous avons une licence sur ce maxi avec
Next Music et c'est la Lyonnaise des Flows un label Lyonnais qui
est notre maison de disques; mais l'un dans l'autre tout s'est bien
passé.
D'autres
labels s'intéressaient-ils à vous ?
Oui Label & Labête Production nous a contacté...
Quels
sont les retours (presse et public) sur ce premier Illusions ?
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