Zicline


Menu

Jeux

Photos : Vincent

 



The Stranglers, 01 /04 /2004, le Trabendo Paris.

Retour sur l'avant scène de ce groupe anglais né à l'ère punk des 70 (1974), qui malgré quelques petits changements de personnel, a toujours conservé son ossature rythmique : Jean Jacques Burnel à la basse, Jet Black à la batterie et Dave Greenfield aux claviers plus le chanteur Paul Roberts qui est arrivé il y a une dizaine d'années et un guitariste fraîchement débarqué Baz Warne.

Qui aurait cru que le Trabendo afficherait complet et que de nombreux fans resteraient devant la porte de la salle sans billet ?

20H05 les lumières se baissent, les 5 anglais arrivent et attaquent quelques titres du nouvel album. Jean Jacques a toujours le gros son de basse qui le caractérise depuis le début et Dave apporte sa part d'originalité avec les sonorités qu'il arrache à ses claviers analogiques. Le chanteur est totalement à sa place, c'est lui qui anime le show, il discute un peu avec le public, le remercie en français d'être venu si nombreux et relance la machine avec les classiques Golden brown puis Always the sun.

Le public, en majeure partie quarantenaire, attendait ces morceaux qui ont bercés son adolescence pour se déchaîner. Quelques uns dans les premiers rangs se lancent dans un pogo " de retour d'âge " sur Walk on by avec solo à rallonge de Dave, et surtout sur No more heroes qui arrive lors du deuxième et dernier rappel . Les Stranglers ont joué pendant 1h35.

Je dois avouer que la dernière fois que je les avait vus c'était vers 1978 au Bataclan et qu'ils ont plutôt bien vieilli, Dave a même perdu plusieurs kilos et 'ils ont encore la pêche, Les Stranglers sont l'un des derniers authentiques groupes punk de la première époque à être encore en activité.

Vincent.

 


Retour au Sommaire - Menu
© Copyright 2004 ZICLINE Contactez-Nous