Dour
Festival 2003, du 10/07 au 13/07.
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Vendredi 11 juillet.
Une fois de plus, on se précipite vers
une autres scène, et on revient à la Last Arena,
pour voir désormais du bon hard rock n'roll, celui des
Nashville Pussy. A titres personnel, étant fan du
groupe et ne les ayant jamais vu en live, j'appréhendais
énormément ce concert (qui fut excellent). Sur scène,
il n'y a pas à dire, même sans mise en scène,
c'est impressionant. Un leader charismatique, une guitariste déjantée
et incroyablement douée, une bassiste de charme et un batteur
qui tue tout ! (oui, bon là, j'exagères peut-être
un peu, mais j'ai récupéré une de ses baguettes,
donc vous comprenez mon jugement...). Très sérieusement,
c'est un super moment, énergique, passionnel, avec des
titres impeccables comme Struttin cock, You give drugs a bad name
ou encore le majestueux Keep on fuckin' : un vrai show rock n'
roll, quoi !
On passe ensuite 5 minutes par le concert de Tryo,
histoire de faire quelques photos pour nos petits zicliners, mais
on ne reste pas.
Une pause bien méritée, et puis
on repart pour les Skatalites, que j'avais découvert
quelques jours plus tôt aux Solidays, et qui m'avaient fait
bonne impression. Les 4 " vieux roublards du ska " sont
en forme, même si on sent qu'ils accusent le coup, fatigués
par leur tournée qui ne les épargne pas. Ils sont
toujours accompagnés de leur jeune trompettiste de talent,
ainsi que de leur guitariste. L'ambiance est bonne, le contrebassiste
parle toujours aussi mal l'anglais (ce qui fait le charme de ses
speachs, que personne ne comprend), mais la fatigue est bien là,
et pèse plus particulièrement sur le épaules
du leader/saxophoniste du groupe. Mais pas de quoi gâcher
leur prestation, loin de moi cette pensée.
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